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 Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier

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Sorakat




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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMar 17 Aoû - 16:59

XD

bah non c'est pas finit ^^
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMar 17 Aoû - 17:02

je c'est que c'est pas finit je connais la suite^^

mais je pensé que tu continué plus
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Sorakat

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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMer 18 Aoû - 21:05

Chapitre 5 : Condamnés

Partie 1 :


Le temps sembla passer longuement après le passage de Mme Forth. J’avais reçu comme consigne de patienter dans cette pièce jusqu’à ce qu’ils règlent les dernières choses. Petit à petit, je finis par penser que je ne m’en sortais pas si mal… En me tenant correctement je pouvait me sortir de là d’ici 3 à 5ans et recommencer une vie normale. Mais je ne savais pas comment les choses se déroulaient là bas. De ce que j’avais apprit, ces personnes n’étaient pas « comme nous ». D’ailleurs, j’avais toujours été fascinée par les rares personnes passées dans notre cité et disant venir d’ailleurs. Quand elles avaient fait escale sur Mars, en général je pouvais le savoir avant même qu’elles ne le disent. On lisait dans leurs yeux une maturité que l’innocence des êtres sur Terre ne permettait pas. Comme si à force de couver les nôtres même les adultes passaient pour des irresponsables en face d’eux.

Parfois on prend des personnes averties pour des fous. Ici leur calme malgré qu’ils soient toujours sur leur garde les rendait plus crédibles que n’importe qui.
Des personnes averties, qui ne prenaient rien pour vérité tant qu’ils ne l’avaient pas constaté eux même. D’après moi une petite merveille de la nature, pour les autres souvent les pires criminels qui soient. C’était vrai remarque que ce qu’on lisait d’eux en cours était loin de la vision que j’en avais. Des kamikazes, des caractères à fleur de peau s’emportant très facilement contrairement aux terriens, des criminels avec un franc-parler pouvant être insultant… Pour la dernière, je m’étais toujours retenue de dire qu’on faisait de même sur Terre.


A ce moment là, je pariais sur 4jours de stagnation totale. Peut être un peu moins, on m’avait retiré ma montre mais j’avais toujours eu une bonne horloge interne. Tapotant du pied contre le mur, le dos allongé contre le sol, j’observais le plafond à la recherche de la moindre imperfection : aucune. Il n’y en avait aucune. Mais les choses imparfaites étaient moins stressantes, on se sentait ainsi à sa place. Les choses parfaites vous rappelaient toujours que vous-même ne pourriez jamais atteindre ce niveau, même si vous y mettiez votre vie. Ils voulaient me rendre dingue ou quoi ?

Enfin, mes songes qui commençaient à s’exciter pour rien s’arrêtèrent quand des bruits de pas me parvinrent au travers de la porte blindée. J’observais la porte avant de rouler sur le ventre et de me relever en vitesse quand elle s’ouvrit. M’époussetant, j’entrevis brièvement deux gardes et le militaire s’avancer vers moi. J’eus à peine le temps de remettre une mèche de cheveux en place qu’on me prenait les bras pour les menotter.
- Vous pourriez faire ça avec un peu plus de précaution quand même ! Grognais-je en gesticulant mes doigts.

Soudés par les aimants de ces bracelets, trop serrés, mes poignets commençaient déjà à me faire mal.
- Tais-toi et avance, pesta l’un des deux gardes.
- Je l’observais avant de mieux regarder le militaire : la cinquantaine, toujours cette cicatrice ignoble… La seule chose que je fis fut de le fixer. Il ne semblait pas vouloir céder non plus. Cela m’amusait mais visiblement pas les gardes qui me poussèrent pour que j’avance. Serrant les dents, je finis tout de même par obtempérer et les laissai me conduire vers ce que je pensais être ma potence.


Si on embarqua dans un vaisseau pour aller jusqu’une autre cité, je n’eus pas le loisir d’admirer la vue. On ne mit même pas une demi-heure pour parvenir à notre point d’arrivée de toute manière. Une fois atterrit, je regardais la nouvelle cité dont les tours semblaient plus dures et anciennes que les nôtres, me regarder comme l’avait fait ce vieux chef de milice. Des couloirs bleu et verts aux jeux de verres et de lumières habituels, on passa rapidement à des sortes de parois d’un bleu bizarre et granuleux qui m’inquiéta plus qu’autre chose : c’était de la mousse sur les murs ? Des champignons ? Je blêmis et préféra regarder plus en détail mes poignets : ils allaient virer au bleu eux aussi si ça continuait. On me montra alors une pièce et me passa un sac.
- Mets ça. Demanda le soldat tout en me libérant les mains.
Je sortis alors le bout de tissus et grimaçais : c’était usé ce truc.
- Ah non, certainement pas.
- Mais tu n’as pas le choix, allez !

Et là-dessus il me poussa dans la pièce, m’y enfermant jusqu’à ce que je daigne enfin mettre cette combinaison horrible… je remarquais que malgré l’état d’usure, tout était à ma taille. Et cela valait mieux que les chaussures trop grandes que j’avais anciennement aux pieds. Je ressortis donc avec la combinaison marron-clair, grisée à certains endroits, défraichis à d’autres et tendis de nouveau les mains telle une victime.
- Avance.


Ce fut la seule réponse que j’eus d’eux de tout le trajet. Après des couloirs à n’en plus finir, des ascenseurs pour monter ou descendre, des passerelles… et tout cela sans fenêtre évidement (on ne voulait par martyriser ces pauvres terriens en leur montrant des visages de criminels), on arriva enfin devant une porte métallique dont l’aspect rouillés sur certains endroits et la mousse sur les murs entourant la porte, m’avertirent qu’on touchait au but. D’ici, on attendit encore. J’en voyais bien un marmonner à son oreillette, mais cela prit quand même bien une demi-heure pour qu’on daigne nous ouvrir.

Quand enfin la porte s’ouvrit, ce fut sur non pas une salle attenante à une sortie vers l’extérieur, mais l’extérieur lui-même. Je ne comprenais pas comment cette mousse pouvais être aussi peu présente dans ce cas. Mais une barrière aqueuse et transparente s’effondra alors sur le sol comme si elle était devenue de l’eau… cela m’éclaboussa d’ailleurs les pieds mais mes gardes du corps ne semblèrent pas s’en soucier : l’un d’entre eux avait également été éclaboussé pourtant… bah, ça devait être inoffensif dans ce cas.
Le vent quant à lui me fouettait le visage avec la même puissance que lors de mon dernier passage à l’extérieur. Toujours cette sensation de respirer enfin quelque chose de « réel », il faisait moins froid par contre. Le bruit assourdissant du vaisseau m’intéressa enfin et j’écartais mes cheveux allant dans tout les sens pour voir non pas un vaisseau tout propre et bien lisse comme au salon, mais une vieille coque dont les différents matériaux rabibochés de ci de là pour le réparer rendait à ma vue un parfait camaïeu de gris et de marrons en tout genre.
- Avance purée !

On me poussa, je protestais. Mais cependant j’avançais quand même, émerveillée d’enfin monter dans un de ces engins. Certes, j’avais quelques fois quitté ma cité pour aller dans d’autres : mais les voyages se faisaient par téléports dans ces cas là. Non ces oiseaux légendaires m’étaient encore inconnus. J’aurais réellement pris plus de temps pour savourer l’idée d’enfin monter dedans mais on me fit accélérer le bras et me montra une passerelle. Je montais dedans et un énième soldat me prit par le bras pour me diriger vers un couloir, me faisant signe de le suivre. Du matériau de ce vaisseau, on voyait les fibres bouger. Elles semblaient dessinées comme les rainures du bois mais elles ondulaient, vibraient, c’était assez joli. Mais une voix me héla d’avancer. Encore et toujours avancer… Je quittais donc les couloirs gris et marron pour une salle… marron.


La porte coulissa derrière moi dans un grincement qui ne fut pas pour me rassurer, bien au contraire. La passerelle sur laquelle j’étais longeais le mur pour descendre jusqu’à un sol jonché de monde que je devinais être d’autres personnes dans ma situation. Je compris alors que le voyage ne se passerait pas dans des sortes de couchettes aménagées. Ce voyage qui devait durer plus de 48heures allait se passer à même le sol. Grinçant des dents, je finis par descendre et malgré des sifflements qui me firent l’effet d’un glaçon glissant le long de mon échine, trouva une place pour m’y assoir.

J’étais entre une fille d’une trentaine d’années, cheveux blonds coupés en garçonne et emmitouflée dans un vieux manteau vert sombre bien trop grand pour elle et d’un gars à la peau noir dont le regard et le sourire amusé ne me dirent rien qui vaille. Je n’eus pourtant pas le choix de me rapprocher de la fille car elle ne semblait pas non plus très accueillante à l’idée que je m’approche d’elle. D’accord, le voyage ne risquait pas d’être de tout repos. D’ailleurs je blêmis à la vue de couteaux que la femme effleurait du doigt comme un bijou avant d’en plonger un dans le sol que je croyais avant cela solide : il s’enfonçait comme dans du beurre ! Le sourire de la fille aussi m’en dit long, elle aussi mine de rien était dangereuse, aussi valait-il mieux que je reste à ma place.
Mais qu’est-ce que je faisais là…


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Sorakat

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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptySam 21 Aoû - 9:43

Partie 2 :



Une journée de passée. Je buttais sur l’idée de ne pas penser aux horreurs que sortait le gars à ma droite. Il s’était penché une fois trop près de moi et je l’avais frappé assez fort pour que son nez soit maintenant cassé. Je pensais devoir attendre une répartie mais il avait finit par rire et s’était calmé. Cependant ses histoires débiles sur des filles qui, paraissait-il se faisait payer pour s’occuper de son cas, je ne voulais pas l’entendre. La fille, elle, ronflait. Je roulais des yeux et m’intéressait de nouveau aux murs : ils étaient tout autant rafistolés que la coque externe. J’avais finis par comprendre que l’on était dans une sorte de caisson quand un tremblement avait perturbé le sommeil de pas mal de monde. On avait été comme soulevés, déplacés et posés autre part. Peut-être un autre vaisseau. Cela était d’ailleurs fort probable car un tel vaisseau ne pouvait pas aller jusqu’à mars à une telle vitesse. Faire la moitié du trajet, ok, mais à moins d’arriver en une semaine, il ne pouvait pas tenir sur la distance. Dans un peu plus d’une journée donc, je savais qu’on arriverait sur mars. J’avais finis par cacher mes cheveux sous le col de ma combine et baissais souvent la tête pour éviter de croiser les regards. Pour le moment, cela marchait. On ne m’avait pas attaqué. Mais un gars n’arrêtait pas de me fixer comme s’il avait compris que je n’avais pas ma place ici. Bon sang si j’étais la première à le penser j’étais mal partie ! Je me doutais qu’avant la fin du voyage, j’aurais à faire à lui. Et il risquait de ne pas être aussi conciliant que le gars qui venait de passer de « La prude » (c’était quoi ce nom ?) à… sa « Dulcinée ». Eurk.

J’avais finis par m’endormir quand mon voisin s’était mit à pleurer sa femme. A mon avis il l’avait inventé, car personne de décent n’aurais voulu d’un tel boulet ! M’enfin. Des murmures avaient finit par me réveiller en même temps que la blonde ricanait.
- ça va se gâter pour toi « La prude ».
Visiblement elle aussi n’avait pu se boucher les oreilles mais elle au moins savait à quoi devait se rapprocher ce nom. Je grognais avant de me rendre compte que le gars à la peau aussi noire que l’ébène tout au fond de la pièce, celui que je redoutais, avait finit par se lever, plaisantant sur le chemin aux ricanements de ce que je me plaisais à appeler des « sombres crétins » dans ma petite tête.
- M…. Ne me dit pas qu’il vient par là !? M’écriais-je tout bas, morte de peur.
- Rien à foutre.

Et elle se renfonça contre le mur, le menton dans son manteau, dormant comme un bébé.
- Sale garce ! Murmurai-je pour moi-même tout en essayant de m’échapper en rampant entre les corps éparpillés sur le sol. Malheureusement au bout du chemin deux jambes me bloquèrent la route. Je relevais le visage et déglutissant, tenta en vain d’émettre une sorte de sourire. Je pense très sérieusement que je devais avoir l’air d’une attardée. Le mec ricana et j’essayai en vain de ramper vers l’arrière. Lui me chopa à l’arrière du col et me souleva d’un bras pour me soulever de terre. J’avais le visage en face du sien sans avoir besoin de toucher le sol quand il m’adressa la parole.
- Alors ça beigne ?
- …..
Bah quoi ? Je n’avais rien à lui répondre. Je paniquais et tremblais tout en me remémorant cette souris dans sa petite roue, figée sur place par le cri d’un aigle…
- bah répond, t’a perdu ta langue ?

Des rires fusèrent, dont le sien. Je n’avais pas le choix, si je voulais tenir au moins jusqu’à l’arrivée, il fallait que j’arrêtes d’avoir peur.. ou du moins que je me défende un peu ! … pas gagné tout ça…
- Lâche moi. Marmonnai-je une nouvelle fois, beaucoup plus bas.
- De quoi ? Eh ! Bruce, t’a entendu la petite ?
- Elle a dit « saute-moi » ! Hurla une voix depuis le fond de la pièce.
Une autre hurla autre chose en même temps mais ce fut ces mots qui me restèrent en tête.
- Lâche-moi tout de suite sale brute !

Il riait, riait et ça m’énervait davantage. Finalement je finis par lui planter mon tibia dans les parties, les gars ne pensant jamais à avoir les jambes serrées l’une contre l’autre. Je vis ses yeux sortir de ses orbites et le temps qu’il revienne à lui, j’avais déjà balancé mon corps sur le côté quitte à péter le col de ma combine. Au point où j’en étais, j’aurais au moins été libre. Mais il ne lâcha pas et je pu donc lui enfoncer mon pied dans l’estomac. Cette fois il me lâcha et je repris enfin contact avec le sol. Mes avant bras le rencontrèrent aussi mais je me relevai comme je pu pour courir vers l’escalier. On me fit un croche-pied et je tombais de nouveau. L’inconnu arriva alors sur moi et tenta de m’écraser sous son pied. J’eus réellement tout juste le temps de rouler sur le côté.

J’avais l’impression que tout le monde était avec lui. Agacée, j’envoyais de nouveau mes jambes, dans les siennes cette fois, histoire de le faucher et il tomba comme une quille. Finalement mes cours de combat me servaient un peu, et encore heureux que je les ai prit tiens ! Me relevant de nouveau, je courus vers l’escalier.
- Cours La prude !
- La ferme ! Rétorquai-je sans tourner la tête.
J’entendais la blonde se marrer tout autant que d’autres gars.
- Remarque, elle ne peut pas aller bien loin.

Et c’était vrai. Je levais la tête pour voir qu’aucun garde ne nous surveillait. C’était donc ça, il avait attendu qu’ils ne nous veillent plus pour attaquer le fumier ! Il du s’apercevoir que j’avais compris ma situation car j’entendis rire derrière mon dos. Me retournant, je finis par lui faire face, attendant qu’il attaque. Quand le coup parti cependant je ne le vis même pas venir. Un coup m’envoya au sol et il se jeta directement sur moi, tentant de m’étrangler. Je mis alors par réflexe mes mains sur les siennes, tentant en vain de les écarter. Je voyais son sourire dément et suffoquais un peu plus chaque instant.


Je paniquais comme une idiote. Je le savais pourtant, garder son calme était le maitre mot dans ce genre de situation. Mais je n’avais jamais connu « ce genre » de situation ! Je voyais ma vie défiler sous mes yeux quand ma mémoire s’arrêta sur la porte explosée du placard où Erik m’avait protégé. J’avais pleuré comme une idiote, même dans les conduis. Là, non. C’était déjà une avancée, je n’avais pas besoin d’un traitre pour m’en sortir… Enfin, je l’espérais.
- …che p... a.
- Quoi ? Elle dit quoi la La prude ?
S’esclaffa-t-il, faisant mine d’approcher son visage pour mieux m’entendre. Vas-y, parle.
Je serais les dents et le fusillait du regard.
- T’approche pas, gros con.

Mes mains passèrent alors de ses paumes à l’arrière de la tête et d’un coup je l’attirai si vite vers moi que je n’eus qu’à pencher la mienne malgré ses pouces sur ma trachée, pour lui mettre un coup de boule monumentale lui cassant le nez par la même occasion. Sur le coup, il me lâcha et je toussai pour reprendre mon souffle, sentant le gout ferreux de ma lèvre en sang m’avertir qu’il devait encore payer. Mon poing parti alors de nouveau mais atterrit dans son œil au lieu de la mâchoire. Moi qui voulais lui rendre la monnaie de sa pièce, il allait falloir que j’apprenne sérieusement à viser. Je me relevais alors pour lui envoyer un coup dans le ventre quand il para ma jambe.
- Lâche-moi !

Prise d’impulsion, j’envoyai alors ma seconde jambe. Qui ne tente rien n’a rien. Et elle fit mouche car elle heurta l’extérieur du coude tendu de ce fumier assez fort pour qu’il me lâche. Les hurlements retentissaient, je me demandais si enfin ils allaient être assez forts pour qu’on intervienne. Les gars eux aussi hurlaient, mais d’envie d’en voir plus malheureusement.

D’un coup mon ennemi se redressa comme un boulet de canon et me propulsa avec son épaule. Je me relevais quand son poing atterrit dans mon estomac.
Soudain, une explosion secoua le vaisseau dans son intégralité. La moitié des lumières sautèrent. Enfin toutes, les lumières que je voyais venaient de mes yeux ayant eu trop de coup de sang pour l’heure.
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Sorakat

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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyVen 24 Sep - 19:19

Après d'énormes soucis d'ordinateur, où j'ai perdu malheureusement, grosss hélas, les originaux de mes chapitres (retrouvé par des ruses que je ne comprends toujours pas :p), je me suis donc vengée sur la suite.


Keira a grandi, et il s'est passé deux ans depuis son départ de la terre. Son caractère a changé. Mais bien qu'elle tente de faire des efforts, son esprit de peste prend toujorus le dessus... ^^

comme vous pourrez le voir ici :




oui j'ai sauté un chap ^^"..; j'ai pas reussi à retrouver mon doc chap 5 pour le moment. =.="

Le jour où je le retrouve, de toute manière le bon ordre restera présent dans le sommaire grace aux liens.
Je rappel qu'en effet pour s'y retrouver, il y a un sommaire de liens en premiere page ! o_O"


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loial
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyLun 27 Sep - 20:18

GG Sora, toujours aussi prenant^^
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Sorakat

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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyLun 27 Sep - 21:38

Merci ^^
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyVen 1 Oct - 23:55

C'est très sympa Sora, continue ^^
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMar 5 Oct - 9:07

Partie 2 ^^


Quand nous atteignîmes une ruelle sombre et étroite, cachés de tous je repris de l’altitude. Nous rejoignîmes alors la hauteur des vaisseaux de petit calibre, ceux ne s’utilisant que sur le sol d’une planète. L’arme toujours à la main, Salin serrait contre lui également ses deux précieux sacs, quand il se rendit enfin compte de la masse d’argent que j’avais pioché dedans. Evidement il pesta mais bon je préférais son argent sale à ma personne, quand il s’agissait de choisir quoi jeter aux ordures.
La cité était froide, ses reflets de verre dans la nuit devenant des silhouettes apeurant les gens. La lumière des vaisseaux sur les colonnes de verres donnaient l’effet d’une forêt peuplée de fées bleues ou vertes, selon les éclairages. Le planeur passait entre les autres selon mes envies. En passant par le centre de la ville nous risquions bien plus aisément les accidents avec un engin pareil, mais nous n’avions pas trop le choix. Cependant il allait relativement vite car « non-contrôlé » par un programme limitant la vitesse. Tandis que je gardai l’œil à l’affut, Salin tentait de compter tant bien que mal son argent, sans se soucier du gouffre entre le sol et lui sous ses pieds.


Le second vaisseau n’apparaissait toujours pas et cela commençait réellement à m’inquiéter. Je me surpris même à rechercher une capsule collée sur mon planer, faisant chanceler l’engin et gronder Salin.
- Tu vois bien qu’il y a rien alors arrête tes conneries ! Pesta-t-il.
- Je préfère quand même m’assurer, on ne sait jamais.
Qu’est-ce qu’il m’énervait… J’imaginais déjà mille et une manière de le faire tomber.
Soudain une alarme retentit et je sentis Salin s’agripper non plus à ses sacs mais à moi.
- Fonce ! Hurla-t-il, visiblement inquiet cette fois.
Je tournais la tête pour voir non plus un mais trois vaisseaux nous fonçant dessus. Le gars avait du aller alerter ses amis.
Accélérant d’un coup, je finis par sourire, excitée. J’avais finit à apprécier ces moments d’adrénaline plus que je ne le pensais, horrifiée à mes premiers pas sur mars de la sauvagerie des gens.

En deux ans je m’étais habituée à être toujours sur le qui vive, à toujours garder un œil sur ce qui m’entoure, au point que cette filature ne m’impressionnait guère. Oui c’était dangereux, oui ça m’énervait de risquer ma vie mais il fallait l’avouer : j’adorais le danger.

Montant et descendant sous les vaisseaux allant trop lentement, une coque de verre vint bientôt nous recouvrir, nous protégeant des vents rendant sinon l’air irrespirable. Je n’avais plus le choix d’être gentille, et en fonçant sur l’engin devant moi, je savais déjà que j’allais sacrifier le travail de quelqu’un pour ma propre survie. Je tournai violement à gauche, laissant le premier vaisseau s’écraser dans un caisson de transport. Le souffle de l’impact nous projeta dans le vide mais j’accélérais et relevait la tête de mon planeur aisément.
- Va dire après qu’il faut un fichu logiciel sur ces machines ! Criai-je pour que Saline m’entende.
- Je sais je sais maintenant bouge-toi !
- Ok prépare-toi à tirer !
D’un coup, je remontai en vertical, laissant champ libre à salin en me penchant sur la gauche. Salin tira et je vis le casque du conducteur se percer et un éclair blanc illuminer l’intérieur, montrant un visage cadavérique effrayé pendant un bref instant.
Quand ils tombèrent dans le vide, j’étais déjà loin, cette image chassée de mon esprit par l’idée que le dernier vaisseau nous avait en ligne de mire. Il nous suivait de trop près pour qu’on le sème, et nous ne pouvions pas tirer avec autant d’autres vaisseaux. Enfin, moi ça m’aurai dérangée.

Mon planer commença au bout d’un moment à hurler que nous étions trop haut. Ses moteurs ne permettraient plus très longtemps de nous tenir à cette hauteur. J’esquivais à ^présent les tunnels reliant la tour centrale quand mon planer se fit harponner.
- *CENSURÉ* ! Pesta Salin, tentant de retirer le harpon qui nous attirai en nous ralentissant vers le vaisseau derrière nous.
- Attends j’ai une idée.
Pariant sur la durée de mes moteurs, je fonçai vers la tour centrale, le plus haut que je pu. Evitant les passages et couloirs utilisés par les autres vaisseaux, les esquivant à la perpendiculaire, je rejoignis les antennes et tourna autour de l’une d’entre elle avant de foncer sur nos ennemis. D’un coup, je remontai une dernière fois, leur passant au dessus et les laissant, attirés par leur câble de fer, foncer sur elle. Le vaisseau, trop gros, ne parvint pas à passer entre les deux colonnes qui la constituait et explosa à son contact.

Force était de dire que les colonnes elles, restèrent intactes. Je laissai à Salin l’honneur de retirer le harpon et me posait sur un toit pour observer cela de plus près. L’antenne visée avait été celle maintenant la sphère… évidement. On n’avait pas utilisé les mêmes matériaux que pour les autres dessus. Cette matière devait résister aux chocs et à la chaleur.
Soufflant, j’allais pour remonter quand j’aperçu Salin, serrant un peu plus ses sacs… Evidement il n’avait pas jeté la drogue.
- On les as eu ces fils de
- Ta gueule, le coupai-je. J’observais son sac, furieuse. Je ne t’avais pas dit de la jeter ? Voilà pourquoi ils nous suivaient à nouveau abruti !
- Aller c’est bon, on a plus qu’à sortir de la ville, ils ne savent pas où est Doc. Tenta-t-il pour me calmer.
- Non ce n’est pas bon justement ! A cause de toi ils vont le savoir.
- Bon écoute. Doc t’a demandé de venir me chercher non ? bah je ne bougerai pas d’ici sans mes sacs. Clair ?
Le pire était qu’il souriait. Furieuse, je lui mis une droite pour me calmer, l’expédiant contre le sol. Il avait le nez en sang, mais cela faisait longtemps que je ne ressentais pas de remord à son propos.
- Peut être, mais le voyage est payant.
Et je mettais sur la note le droit de lui casser le nez.


Nous finîmes cependant par sortir de la ville et reprendre la route correctement.
Une fois arrivés devant le bunker de doc, j’allais pour m’occuper de mon planer quand lui préféra aller se mettre au chaud.
- Espèce de…
- Keira !
La voix du vieil homme, furieuse, ne m’alerta pas et je me remis à recharger mon engin.
- Tu n’es pas en retard !?
- La faute à ce grand con qui se pointe trois heures en retard, et un sac plein de drogue volée dans les bras. Oh… Et un sac d’argent. Enumérai-je avant de m’occuper de mon petit bolide.
Je préférais largement sa compagnie au Doc, quand il était dans cet état. Genre, le grand père qui couve un peu trop ses petits enfants, et ce même s’ils sont adultes. Pour quelqu’un qui avait eu l’habitude sur terre de s’en sortir par elle-même, ça faisait drôle.
- Comment ça ? Vous avez été attaqué ?
- Oui. Répondis-je en chopant l’enduit pour permettre à mon planeur de pénétrer plus aisément l’air.
Une petite couche et ça serait à mon tour d’aller me laver… Ce produit était génial mais bon sang ce que ça empestait !!!
- En ville ?
Je relevais alors la tête, sachant très bien qu’il devait s’inquiéter encore davantage.
- ne t’en fais pas, il n’y a pas eu de casse. J’ai été obligée de passer par la ville pour semer les gens qui le poursuivait, voilà tout.
- Mais enfin Keira ! Tu aurais du foncer tout droit vers ici ! TU sais bien que ces gens ne viennent jamais dans cette zone.
- Pas bête… murmurai-je en me redressant et jetant le bout de chiffon ayant servit à lustrer le planeur.
Etrangement, la mafia des cités ne s’éloignait jamais, du moins n’allait pratiquement jamais voler jusque chez le doc. Je ne savais pas pourquoi, mais ça devait avoir un lien avec ce que le vieil homme cachait sous le sol de son bunker. Je pense que j’avais tout de même besoin d’un peu d’action et du omettre volontairement cette idée.

Je regardais alors Doc et sourit doucement. Mais on est arrivé à bon port. C’est déjà ça non ?
- ouai, ouai… Grogna le vieil homme.
- Cependant fais quelque chose pour Salin. Si la prochaine fois que je vais le chercher il a ce genre de choses sur lui, je le laisse sur place.
Et je ne plaisantais vraiment pas. L’action me plaisait mais pas au détriment de ma propre vie. Voyant la lueur agacée dans les yeux de Doc, je laissais les robots finir à ma place de ranger le planeur. Ils étaient agaçant ceux là, à toujours vouloir bien faire.
- Tu ne le reverras pas de si tôt ne t’en fait pas. Il va embarquer avec Erik demain.
Je me raidis instinctivement et marmonnant un juron entre mes lèvres, fit mine de sortir du hangar, mais il me barra la route.
- Si Keira, tu vas écouter. Je sais qu’il a mal agit mais en deux ans tu n’as pas fait le moindre effort pour qu’il s’excuse.
- parce qu’il s’excuserait peut-être ? Demandais-je en tentant de passer par l’autre côté.
- C’est vrai que… murmura Doc en esquivant ma tentative et en se plaçant de nouveau devant moi, me faisant grogner un peu plus. Ok, ok… j’avoue qu’il ne s’excusera pas ! Mais…
- Parfait, on en reste là. Le coupai-je, l’esquivant enfin proprement.
- Tu ne pourras pas l’éviter éternellement Keira, ajouta Doc. Il vient ravitailler son vaisseau ici et j’en ai marre que tu nous laisse tout faire à cause de ton entêtement. Aujourd’hui tu devais nous aider, mais tu as préférer sauter sur l’occase d’aller chercher salin. Demain tu as intérêt à t’y coller. Ok ?
- oui.. Marmonnai-je, le fusillant du regard, outrée qu’il me demande ça.

Normalement je me chargeais avec un ordinateur de vérifier l’intégralité des circuits des vaisseaux, et de régler les détails pouvant ne pas aller.
Cependant je n’avais aucune envie que les vaisseaux d’attaque à présent sous terre me donnent un prétexte pour revoir ce sale type.
A vrai dire, j’avais deux trois raisons de ne pas vouloir le voir. En plus du fait qu’il se soit servit de moi sur Terre, évidement. Il y a deux ans, j’avais finit par apprendre deux trois trucs sur ce soi disant criminel. Un contrebandier assez connu visiblement (donc c’était bien un criminel !), passant sa vie à marchander avec ou pirater les autres vaisseaux. On ne savait pas d’où il venait, mais doc semblait avoir une grande estime de cet homme (pas moi).

Il était donc arrivé un jour à bord d’un des engins d’attaque de son vaisseau mère. Moi qui pensait ne jamais le revoir, j’avais été servie. Sur le coup je n’avais pas réagit. Lui ne semblait pas m’avoir reconnu, ne se doutant surement pas que j’étais sur mars à présent. Mais quand il était passé près de moi… C’était parti tout seul.
Je ne m’étais pas sentie en colère avant, ni satisfaite après. Mais je lui avais enfoncé mon poing dans la mâchoire sans aucun remord, soulageant mes poings qui fourmillaient depuis le moment où je l’avais vu sortir de son vaisseau. J’étais alors partie, frustrée de ne pas comprendre pourquoi mon poing était parti aussi facilement, mais très contente d’avoir vu sa tête d’ahuri par le coup qu’il avait prit, (visiblement il n’était pas habitué à être prit par surprise), puis en me voyant.
Ce souvenir avait un gout aigre-doux que j’adorai énormément… Et même après deux ans donc, je ne me lassais jamais de repasser en boucle dans ma tête, sa tête hébétée quand il m’avait vue.
Depuis lors, j’avais tout fait pour éviter de le croiser à nouveau, pensant que je serais encore tentée de le frapper. Et le Doc m’en tenait rigueur, évidement. J’étais payée pour bosser et je partais en boite, m’amuser à droite à gauche plutôt que de travailler.
Cependant, même s’il fallait que je travaille enfin pour ce type, je refusais de le voir. Et j’avais ma petite idée de comment faire… Après tout, Erik ne devait repartir avec ses vaisseaux que le lendemain soir.
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loial
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMar 5 Oct - 13:14

Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 26055 Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 26055 study GG Sora^^

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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMar 5 Oct - 14:08

GG quoi ? oO
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyLun 25 Oct - 21:09

Bon, juste parce que ça m'amuse, j'ai chopé des images sur le web pour que vous puissiez vous représenter les persos :

- Keira NELSON :
Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 Keiraava2


- Erik :
Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 Savingcopie
(chhht je sais que ça vient d'un jeu ><")


- Kat :
Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 018hr


- Naomi :
Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 90142av2


- Mael :
Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 133gx


- Bryan :
Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 Tomomikazuma001acopie


- Derek Stephens :
Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 Gakuen19


- Taja Stephens :
Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 Aaaaaaaaaaaaaaaaaaa2kc0
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyLun 25 Oct - 21:16

elle sont belle t'est image mais je peux rien dire quard j'ai pas lu le sujet juste lu le sommaire
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zembonsakura

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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyLun 25 Oct - 22:45

rho lala je suis bo decu ^^ (bryan )
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMar 26 Oct - 10:21

oui je sais : j'en cherche d'autres pour bryan et derek, elles sont hideuses ><"
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Sorakat

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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMer 17 Nov - 10:23

Coucou ! Bon j'avais prevenu Rozaliana mais voilà : avec la fac j'ai peu de temps pour venir jouer ^^ Donc encore moins de temps pour le forum....
Mais je vous oublie pas et dès que j'aurais les vacs avec moi je ferais un regain de force ^0^

Bon sur ce, ma passion première, passant meme avant rappelz etnt le dessin et le scenar....

bah je vous donne de mes nouvelles par ce dessin :
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vouai, c'ets bien ma chtite keira XD
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Mysterioz
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMer 17 Nov - 10:32

trop beau!
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMer 17 Nov - 10:55

Ty ^^
Bon hormis pour le visage j'avoue ne pas m'être trop foulée =D
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Skorpîon




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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMer 17 Nov - 12:14

^^ oui c'est super beau !!!!

Bon courage pour la fac !!!!!
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matlateknik
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMer 24 Aoû - 8:16

Up si y en a qui veulent lire un peu Razz

Bisous à toi si tu passe par là sora Wink
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Hyuunkel
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMer 24 Aoû - 10:55

Lol mat qui sort la pelle pour déterrer un ancien sujet ^^
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Frostkillah

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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMer 24 Aoû - 12:37

Spécialiste en la matière le Matou Razz
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 EmptyMer 24 Aoû - 19:40

Y a plein de nouveaux :p si y en a qui veulent découvrir le talent de sora pour l'écriture Wink
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MessageSujet: Re: Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier   Mars : ou comment me ruiner les doigts sur un clavier - Page 6 Empty

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